Notre système de protection sociale est impénétrable, indéchiffrable, inhospitalier, incontrôlable. On ne sait plus qui finance quoi. Qui cotise pour quoi. Qui gère quoi. Qui reçoit quoi et pourquoi.
Dans notre modèle, deux principes de couverture selon la nature du risque : les risques universels sont garantis par la solidarité nationale. Ceux qui ne le sont pas par la mutualisation. Fini le « base + complémentaire » qui fractionne la solidarité. Place au socle universel.
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